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La France offre de l’argent aux gens pour faire du vélo

Le gouvernement français veut mettre davantage l’accent sur le vélo comme l’un des moyens de transport idéaux pour les villes dans le cadre du déconfinement du pays. Mais comment encourager la pratique du vélo ? Le gouvernement français a certainement pensé, « qu’est-ce qui motive les gens plus que l’argent ? » Alors l’état a introduit, lundi 11 mai, la mesure suivante, qui offre aux cyclistes une belle somme. Mais cet argent devra être réinvesti dans l’économie locale.

Nous sommes avec Becycled plus fans des mesures susceptibles de créer un effet à long terme, comme une meilleure infrastructure cyclable, une culture appropriée pour l’activité physique et le transport doux, et la perception du vélo par le public. Ce système est déjà bien établi dans des pays voisins comme les Pays-Bas. Mais en Belgique et en France, il y a encore du boulot, il était donc temps de donner un coup de pouce supplémentaire, selon le gouvernement français.

Le vélo permet de respecter les mesures de distanciation sociale tout en préservant l’environnement.

Coup de Pouce Vélo sur leur programme

Le gouvernement français va donner un maximum de 50 euros par personne pour la réparation des vélos dès la fin du confinement. Cela fait partie d’une nouvelle initiative appelée « Coup de Pouce Vélo ». L’objectif est d’inciter les gens à faire du vélo plutôt qu’utiliser les transports publics ou la voiture.

L’état français ne donne pas l’argent en cash aux cyclistes. Il s’agit principalement de bons de réparation pour lesquels ils coopèrent avec des professionnels du cycle (magasin de vélo, ateliers vélo …). Vous pouvez non seulement utiliser les bons pour des réparations, mais aussi pour l’achat de certains pièce et accessoires, tels que les casques, l’éclairage et les cadenas.

Toutefois, le plan va au-delà de la réparation des vélos. Une autre partie du budget de 20 millions d’euros sera consacrée à l’installation de places de stationnement temporaire vélo et aux séances d’un accompagnement à l’usage du vélo (prise en main, circulation en ville, itinéraire adapté, etc.), réalisées par des vélo-écoles pour la remise en selle.

Il reste à voir si les investissements actuels dans des villes comme Bruxelles, Paris ou Londres peuvent entraîner un changement dans la culture de ces jungles urbaines où la voiture règne toujours en maître et si certains changements temporaires pourraient devenir permanents …

Source: Le Monde

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